Styx

de Philippe Deparis

(août 2024 aux éditions Eaux Troubles – 290 pages)

La sanction est tombée, le brigadier Eric Miera est condamné à une peine de trente ans.

Myriam et ses collègues du commissariat doivent se rendre dans les parkings Robert Houdin. Des activité suspectes ont été signalées.

Entre drogue, suicide et difficultés du métier, la vie est loin d’être facile quand on a choisi la défense des concitoyens.

Philippe Deparis, policier depuis 25 ans, se lance dans l’écriture et nous propose Styx,
son quatrième roman. I| est noir, sombre, dur
comme l’est le métier de policier, profession
aux multiples facettes dont les actions font rêver autant qu’elles sont décriées (source éditions Eaux troubles).

Dans Styx, on retrouve dès le départ le style de Philippe Deparis. Il fait le choix, de nouveau, de nous présenter ses personnages en détails, aussi bien physiquement que dans leur personnalité, afin de faire plus ample connaissance avec eux.

On retrouve l’ambiance et les dialogues que l’on imagine aisément au sein d’un commissariat.

Une fois de plus, Philippe Deparis nous partage ses connaissances acquises dans son milieu professionnel et tout particulièrement sur le terrain.

Il nous informe sur PEPS (Police Entraide Prévention et Lutte contre le Suicide) et évoque ainsi un sujet très important dont les médias parlent occasionnellement et très succinctement, comme s’il fallait étouffer à tout prix ce genre d’affaires. Le suicide, quel qu’il soit est terrible. C’est un appel de détresse et il touche régulièrement nos forces de l’ordre.

Styx, une histoire de flics, pure et dur.

(Merci à Marc Z des éditions Eaux troubles et à Philippe Deparis)

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Comments (

1

)

  1. Collectif Polar : chronique de nuit

    Je ne le connais pas celui-ci !

    Je vais voir avec Marc Z ! 😉

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