Salon de l’Iris Noir 2022

Les 29 et 30 octobre 2022 a eu lieu la quatrième édition du salon de l’Iris Noir à Bruxelles, une ville que j’aime beaucoup. Une raison de plus pour moi de m’y rendre.

Le plan du Tramay et du métro, un indispensable, que j’ai maudit plus d’une fois mais que je commence à connaître à force…
J’y suis allée pour le week-end et j’ai apprécié la chambre que j’ai réservée à l’hôtel Progress.



Le rendez-vous était pris avec les flingueuses du Collectif Polar. De gauche à droite, Danièle Ortega-Chevalier alias Dany flingueuse, l’auteure Isabelle Villain, notre cheffe, Geneviève Van Landuyt, Sophie Collette et moi-même. Un moment hors du temps le samedi soir avec un dîner en terrasse avec 19° ! Une très bonne soirée.

Voici une photo des Louves du Polar car les femmes, dans le monde du polar ou ailleurs, ne feront jamais assez entendre leurs voix !

Alexis Laipsker a reçu le prix Découverte pour Les poupées, toujours dans mon éternelle pal ainsi que Le mangeur d’âmes. Je vous ferai un retour prochainement pour …Et avec votre esprit, l’une de mes lectures de 2022.

Voici quelques jolis sourires du salon :






Lors de ce week-end, j’ai tout particulièrement apprécié la conférence de Stanislas Pétrosky sur Alexandre Lacassagne faisant écho à son dernier roman mais premier d’une série : L’affaire de l’île Barbe. Alexandre Lacassagne est le père fondateur de la criminologie. J’ai déjà lu pas mal de choses sur ce médecin français et j’ai hâte de me plonger dans L’affaire de l’île Barbe très prochainement.


L’auteur nous apprend qu’Alexandre Lacassagne jouait avec Léon Gambetta enfant. Plus tard il va chercher à comprendre, par exemple, l’angle de tir. Il obtiendra l’autorisation du juge Vial de tirer sur des cadavres. Il est partisan du « bouillon criminel ». Il aura comme élève Edmond Locard, fondateur du premier laboratoire de police scientifique mondial.


Stanislas Pétrosky nous parle du photographe Alphonse Bernoud, de nuage de spores, d’un Alexandre Lacassagne passionné, entre autres, par le tatouage, tout comme son fils qui deviendra dermatologue. Si vous souhaitez en savoir plus, je vous invite à suivre l’actualité de l’auteur.



Ian Manook qui pose, Mathieu Lecerf qui tente de se rafraichir à la japonaise.

Mon couple favori d’auteurs :

Et pour finir, ma photo préférée, un joli trio d’auteurs. Même en zoomant je ne vois pas ce que Franck Thilliez montre sur son téléphone à Ian Manook mais en tout cas cela laisse béat d’admiration Olivier Bal !

Le dimanche, je suis arrivée dans les premières personnes afin de pouvoir avoir le tot bag à l’effigie du salon et quelques cadeaux glissés dedans. Non je ne vous en dirai pas plus, il faut venir pour savoir… afin de rencontrer aussi la formidable équipe de bénévoles ! Alors à l’année prochaine !

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